Après le dérèglement climatique avec Le Jour d’après et l’apocalypse avec 2012, le cinéaste allemand s’attaque à une des plus violente bataille aéronavale de l’histoire.
1942, début juin, six mois après le carnage de Pearl Harbor qui déclencha l’entrée dans la Seconde Guerre mondiale du Japon, ce dernier provoque une bataille navale destinée à détruire les forces aéronavales américaines, qui entravent les conquêtes japonaises dans le Pacifique.
Cette bataille du Pacifique est plus connue sous le nom de bataille de Midway, du nom d’un minuscule atoll du Pacifique nord.
Roland Emmerich fait rarement dans la finesse, mais la plupart du temps, il « fait » efficace ! Le cinéaste pouvant se targuer d’avoir à lui tout seul, fait rentrer plus de 3 milliards dans les caisses des studios, il revient avec un méga blockbuster de guerre – au moins ça change des super-héros -, en se penchant sur ce pan de la Seconde Guerre mondiale, et donc, un peu sur un morceau de l’histoire américaine.
L’enjeu pour le réalisateur est de taille, tant ces deux derniers films, Stonewall et Independance Day : Resurgence, ont été des fours, et des fours justifiés.
A l’instar de La Bataille de Midway de 1976, avec Charlton Heston et réalisé par Jack Smith, le film devrait tenter de montrer un regard partial entre les Etats-Unis et le Japon.
Pour l’occasion, Emmerich s’est offert un casting de luxe avec Woody Harrelson, Luke Evans, Mandy Moore, Patrick Wilson, Ed Skrein, Aaron Eckhart, Nick Jonas, Darren Criss et Dennis Quaid.
Le pitch : L’amiral Nimitz (Woody Harrelson), à la tête de la flotte américaine, voit cette bataille comme l’ultime chance de renverser la supériorité japonaise. Une course contre la montre s’engage alors pour Edwin Layton (Patrick Wilson) qui doit percer les codes secrets de la flotte japonaise et, grâce aux renseignements, permettre aux pilotes de l’aviation américaine (Ed Skrein, Luke Evans, Darren Criss) de faire face à la plus grande offensive jamais menée pendant ce conflit.
Le film sera sur nos écrans le 13 novembre 2019, alors en attendant la bande-annonce, affiche et…
Wait and SEE !