30 ans après la première adaptation du roman de Stephen King, Simetierre s’apprête à vous faire frissonner… de peur, à nouveau.
Plus qu’un remake, c’est une nouvelle lecture que le duo de réalisateurs Kevin Höllsch et Dennis Widmyer, déjà responsables du film d’horreur indépendant Starry Eyes en 2014, s’apprêtent à proposer au public friand de film d’épouvante et d’horreur.
A noter que le frenchie Alexandre Aja fut attaché au projet pendant longtemps.
Le 10 avril prochain, la nouvelle adaptation du bouquin le plus terrifiant de l’œuvre de King, selon l’auteur lui-même, déboulera dans les salles françaises et, en voyant ce nouveau trailer qui se termine par cette phrase glaçante « Parfois il y a pire que la mort », ça devrait être légèrement traumatisant, même pour les plus coriaces d’entre vous.
Au casting, on retrouve Jason Clarke, vu récemment en Ed White dans le First Man de Damien Chazelle, le vétéran John Lightow, et Amy Seimetz.
Le pitch : le docteur Louis Creed, sa femme Rachel et leurs deux jeunes enfants quittent Boston pour s’installer dans une région rurale du Maine. Mais le docteur découvre un mystérieux cimetière caché au fond des bois et des symboles indiens entourant les lieux, brrrrr ! Leur seul voisin Jud Crandall leur explique alors que les animaux enterrés sur ces terres reviennent mystérieusement à la vie. Après un terrible accident, Louis va déclencher, sans le savoir, une série d’événements tragiques qui vont donner naissance à de redoutables forces maléfiques. Déjà tu lis, t’as peur !
Le tandem à la réalisation, qui ont déboulé sur le projet alors que le scénario était déjà écrit, ont déclaré : « Il faut aussi s’assurer qu’on fait des changements pour de bonnes raisons, et pas seulement pour désarçonner le spectateur. Et le choix d’Ellie comme protagoniste est parfaitement cohérent par rapport à l’intrigue », et d’enchainer par : « Ce qui nous plaisait dans le roman, c’est que c’est toujours le personnage d’Ellie qui se pose toutes sortes de questions. Elle se demande si son chat va mourir un jour et soulève des questions essentielles. Du coup, c’était logique de faire d’elle le personnage principal, et qu’elle relaie ces questions à son père, afin de résoudre les problèmes qui s’étaient posés dans nos premières conversations. C’était une manière intelligente d’aborder ce thème ».
Rendez-vous donc le 10 avril dans les salles les plus obscures possible et…
Wait and SEE !