L’acteur et réalisateur est présent au festival du film francophone d’Angoulème pour y présenter son nouveau long-métrage, Adieu les cons.
Après la comédie plus que grinçante 9 mois ferme en 2013 avec Sandrine Kiberlain, et son adaptation du livre de Pierre Lemaître Au revoir là-haut, auréolée de cinq César dont celui de meilleur réalisateur, Albert Dupontel, qui a débuté sa carrière de cinéaste en 1992 avec Bernie revient en 2020 avec Adieu les cons, un film au titre assez explicite, porté par Dupontel lui-même et Virginie Efira.
Le pitch officiel : lorsque Suze Trappet apprend à 43 ans qu’elle est sérieusement malade, elle décide de partir à la recherche de l’enfant qu’elle a été forcée d’abandonner quand elle avait 15 ans. Sa quête administrative va lui faire croiser JB, quinquagénaire en plein burn out, et M. Blin, archiviste aveugle d’un enthousiasme impressionnant. À eux trois, ils se lancent dans une quête aussi spectaculaire qu’improbable.
Dans Adieu les cons, Albert Dupontel se dévoile un peu plus et déclare : « L’audace de ce projet, c’est la fin. Arrêter de me camoufler derrière des nez rouges qui ne m’amusent plus parce que je commence à vieillir et oser une forme d’impudeur. »
Quant à Virginie Efira, sa complice dans le film, elle a déclaré à propos du réalisateur qu’il avait : « une construction mentale des images qu’il veut voir qui est vraiment intéressante à tout point de vue. Quand on court dans un escalier en colimaçon, l’escalier tourne avec nous et ça produit des impressions. Tout est au service de l’histoire. Il n’y a pas d’esbrouffe de réalisation. »
Adieu les cons sortira en salles le 21 octobre.
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